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De l’occupation maximale à la surcharge : le juste milieu entre profit et service de qualité ?

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Introduction


L'un des plus grands défis d'un général hôtelier est d'atteindre le taux d'occupation maximale sans nuire à la qualité du service. Également, la pression pour maximiser les revenus peut parfois mener à une surcharge du personnel et des équipements, ce qui réduit en fin de compte la satisfaction du client. Voici quelques conseils pour trouver un juste milieu.


1. Le taux d'occupation idéal

Il convient de noter que l'occupation maximale n'est pas toujours synonyme de bénéfices maximum. D'après Statista, le taux d'occupation moyen d'un hôtel en France était de 61,5% en 2019. Cela suggère qu'un taux d'occupation de 100% n'est peut-être pas réaliste ou souhaitable.


2. L'importance d'un service de qualité

Si vous voulez fidéliser votre clientèle, la qualité du service est primordiale. Comme le lama Dalai a dit : 'La qualité est le meilleur business plan'. Cette maxime s'applique particulièrement à l'hôtellerie.


3. La gestion du personnel

Assurer un service de qualité demande du personnel qualifié, bien reposé et motivé. D'après une étude de l'Université de Stanford, la productivité d'un employé décline après 50 heures de travail par semaine et chute drastiquement après 55 heures.


4. Les équipements et les infrastructures

N'oubliez pas que la qualité du service est également déterminée par les équipements disponibles. Proposer un nombre de chambres optimal permet de gérer la maintenance et de garantir la disponibilité des infrastructures à tout moment.


5. La flexibilité

Dernier point mais non le moindre, la clé pour maintenir l'équilibre entre profit et qualité de service est la flexibilité. Avoir une gamme de services variée permet de s'adapter à une demande fluctuante et d'ajuster l'offre de manière fluide.


Les general managers devraient donc prendre en compte l'ensemble de ces facteurs pour maintenir un bon équilibre entre l'occupation et la qualité du service. Et comme le dit le proverbe français : 'Qui trop embrasse, mal étreint!'.